Professionnels : choisissez le bon format d’image

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Les technologies numériques sont aujourd'hui extrêmement avancées en matière d'images et de définition de celles-ci. A chaque propos correspond un type d'image, un format particulier. Mais l'image fixe n'est pas la seule à connaître différents protocoles, le texte lui aussi peut être transmis dans des modèles différents, en fonction des besoins de celui qui l'utilisera a posteriori. La vidéo aussi peut, en fonction du besoin et du support qui va l'accueillir, être codée de telle ou telle façon pour correspondre au medium qui la diffusera. Si les diverses typologies d'images et de textes semblent absolument incompréhensibles pour un œil non averti, pour les professionnels le format d'un fichier est crucial.

Convertir une image médicale au bon format

L'une des catégories professionnelles qui emploie un grand nombre d'images, c'est celle du domaine de la santé. Les technologies utilisées par la médecine aujourd'hui permettent à un praticien de recevoir les résultats d'une radio ou d'une IRM aussitôt que celles-ci ont été réalisées dans un laboratoire. Mais cela ne se fait pas n'importe comment. La conversion de cette image au format dicom est nécessaire, puisque sans elle les protocoles et les réglementations en matière de transferts de données médicales ne seraient pas respectées. Or tout le monde sait que la sécurisation des données sensibles est une nécessité.

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Images écran, images imprimées et transfert d'images

Les graphistes qui mettent en page les journaux qui seront imprimés avant d'être distribués en kiosque eux aussi ont des contraintes en matière de format d'image. Ils disposent de plusieurs possibilités, mais doivent choisir en fonction de ce qui est demandé par l'imprimeur. C'est d'autant plus important lorsqu'il s'agit d'une photographie publicitaire. Mais s'ils ne modifient pas le format d'une image prévue seulement pour être affichée sur un écran, celle-ci perdra en qualité de façon conséquente, et ne pourra pas être imprimée sans perdre en visibilité. Aucun titre de presse, même gratuit, ne peut se permettre ce genre d'erreur, il faut donc absolument respecter, là aussi, les protocoles en vigueur.

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